« C’est après mon premier passage radio du titre « C’était l’heure » sur le Mouv’, réalisé dans ma chambre par 39 de fièvre que j’ai compris que « C’était l’heure, sans leurre évidemment » de me lancer. »

Cette jeune auteur, compositeur, interprète a longtemps gravité entre plusieurs disciplines artistiques comme violoniste dans l’orchestre de l’académie de Paris, la danse, le studio d’enregistrement, le théâtre et le cinéma où elle réalisa 2 courts métrages. Un panel large qui lui permettra plus tard d’assumer son projet solo, qu’elle vous présente aujourd’hui.
Sur scène, accompagnée de son violon, sa guitare et ses machines, Adella nous embarque immédiatement dans son univers par ses mélodies ravageuses et des textes qui font mouches. Une voix sensuelle et suave qu’on a déjà pu entendre sur le single de Luke « Pense à moi ».
Une production qui apporte quelque chose de différent, une sonorité, un style, des refrains qui nous collent à la peau, des orchestrations et une atmosphère qui nous rappelle un moment vécu.
Parisienne depuis toujours, rêveuse, nostalgique et romantique Adella nous raconte l’intimité de ses amours.